Ceci s'applique particulièrement aux cancers gynécologiques. Il assure l'efficacité du traitement, ce qui permet d'obtenir des doses élevées dans la zone de la tumeur avec le moins de dommages possible aux tissus environnants.
L'application se fait avant ou après un traitement externe. En administrant de fortes doses à une zone plus locale, on obtient un meilleur contrôle de la tumeur et, de cette façon, la possibilité d'une complication tissulaire normale diminue en raison de la faible dose de tissu sensible autour de la tumeur.
Où la curiethérapie est-elle utilisée ?
Dans les applications de radiothérapie standard, la quantité de dose à la tumeur est limitée par la dose de tolérance du tissu solide à travers lequel le faisceau passe. Des doses suffisantes ne peuvent pas être administrées car cette dose de tolérance est parfois inférieure à la dose létale de la tumeur. La curiethérapie est appliquée à la tumeur pour fournir une dose suffisante et ainsi placer la source radioactive directement à l'intérieur ou à proximité de la tumeur, ce qui cause un problème de dose inadéquat pour le traitement résultant du surdosage de tolérance est éliminé. De plus, une dose maximale est appliquée au site tumoral par ces sources radioactives qui peuvent être insérées temporairement ou de façon permanente dans l'organe, de sorte que la dose à laquelle les tissus sains autour de la tumeur sont exposés est très faible. De cette façon, les tissus robustes sont préservés.
Pour quelles tumeurs le traitement de brachythérapie est-il utilisé ?
La curiethérapie est couramment utilisée dans les cancers du col de l'utérus, de la prostate, du sein et de la peau. La curiethérapie n'est pas limitée aux zones susmentionnées, mais peut être utilisée pour les tumeurs dans d'autres parties du corps. Des exemples de ces parties comprennent la racine de la langue, la base de la bouche, les lèvres, les bronches, le nasopharynx, l'œsophage et les tumeurs du rectum.